Andrea Chakma

Nous avons rencontré Andrea lors de la cérémonie de remise des Prix à Toronto en début d’année. Écoutez ce qu’elle a à dire. 

C’est une excellente occasion, je pense, de faire le prix Or parce qu’il permet d’explorer un grand nombre d’activités extrascolaires et de passions différentes, et d’en apprendre davantage sur soi-même en tant qu’individu.   

Parlez-nous de votre expérience au sein du Prix.   

J’ai commencé ce Prix juste avant le début de la pandémie. Une fois que la pandémie a frappé, je me suis demandé comment j’allais pouvoir terminer ce Prix. Qu’est-ce que je vais faire ? Mais j’ai quand même réussi à le faire grâce à beaucoup de persévérance. Je pense aussi que c’était une activité extraordinaire à faire pendant la pandémie, quand on était coincé à la maison et qu’on n’avait pas vraiment de réseau pour se connecter et qu’on ne pouvait pas voir beaucoup de gens. Le Prix m’a offert une activité et un objectif à atteindre. C’est cette constance qui m’a permis de tenir tout au long de mon parcours, je dirais, de la pandémie.   

Quelle a été votre partie préférée du Prix et pourquoi était-elle géniale ?   

Ooh, c’est une bonne question. Je pense que l’une de mes expériences préférées a été le projet Or, que j’ai réalisé à Taïwan. Je participais à une conférence des Guides et c’était une excellente occasion pour moi non seulement de découvrir des personnes de cultures différentes, mais aussi de comprendre et d’en apprendre davantage sur le leadership. Le projet Or est l’occasion de faire cela.  Je dirais que le projet Or a été l’une des parties que j’ai préférées de tout le Prix.   

Quelle est la leçon la plus importante que vous ayez apprise ?   

Je pense que ce que j’ai le plus retenu, c’est qu’il est toujours possible d’atteindre quelque chose si l’on s’y met. Je pense que l’exemple parfait dans ma vie aurait été la partie athlétique. Je n’ai jamais été un sportif.  Lorsque j’ai réalisé que cela faisait partie du Prix, je me suis demandé ce que j’allais faire.  

J’ai commencé à courir et je pense qu’au début, c’était vraiment difficile, j’avais du mal à me mettre à courir, à me mettre en forme. Avec le temps, c’est devenu plus facile et le fait de savoir qu’il s’agissait d’une exigence et que, vous savez, je devais avoir un objectif, m’a vraiment aidée à dépasser mes limites et à ne pas penser que ce n’est pas quelque chose que vous ne pouvez pas faire parce que vous pouvez tout à fait le faire.   

Il suffit de s’y investir corps et âme. Je veux dire par là qu’il faut y consacrer du temps et des efforts, commencer petit et ensuite aller plus loin. Cela m’a appris à persévérer davantage et à comprendre que je peux faire beaucoup de choses différentes si j’y mets toute mon âme et tout mon esprit. 

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